Zad Moultaka (1967)
ensemble Musicatreize direction Roland Hayrabedian
l’empreinte digitale ED13246 parution décembre 2016
1 disque audio 60′ distribution Socadisc
Callara II • Ikhtifa •Maadann •Cadavre exquis
4 diapasons – 4 étoiles Classica
Zad Moultaka (1967)
ensemble Musicatreize direction Roland Hayrabedian
l’empreinte digitale ED13246 parution décembre 2016
1 disque audio 60′ distribution Socadisc
Callara II • Ikhtifa •Maadann •Cadavre exquis
4 diapasons – 4 étoiles Classica
Quatre œuvres d’essence vocale explorent les notions de sacré et de communauté, à travers des rituels imaginaires, archaïques et contemporains.
« Rituels » est le fruit d’une longue et complice collaboration artistique entre Zad Moultaka et l’ensemble Musicatreize. Il présente 4 œuvres vocales d’une grande diversité : plusieurs soli, des tutti augmentés par la dimension électroacoustique, des pièces instrumentées ou a cappella… Poèmes maya, arabe, texte alchimique du XVIe siècle ou conçu en atelier d’écriture s’incarnent en plusieurs langues méditerranéennes (français, italien, arabe, espagnol) et les chants transportent de la solennité à l’étrangeté. Le disque relate la fascination toute orientale du compositeur franco-libanais pour le rite, pour l’exploration des frontières entre sacré et profane et rejoint le souci de Roland Hayrabedian de trouver son chant intérieur.
ensemble Musicatreize, direction Roland Hayrabedian
Céline Boucard (A) Kaoli Isshiki (ABCD) Elise Deuve (ABD) Claire Gouton (ABCD) sopranos
Sarah Breton (ABD) Marie-George Monet (ABCD) Madeleine Webb (A) Laura Gordiani (ABCD) altos
Xavier de Lignerolles (ABCD) Samuel Rouffy (A) Jérôme Cottenceau (ABD) Gilles Schneider (ABCD) ténors
Patrice Balter (ABCD) Grégoire Fohet-Duminil (ABCD) Florent Baffi (A) Jean-Manuel Candenot (ABCD) basses
Victoria Harmandjieva (AC) & Jay Gottlieb, piano (AC) / Tünde Balbastre (C) cymbalum
Claudio Bettinelli (AC) & Christian Hamouy (A) percussions
Celia Perrard (A) & Anabelle Jarre(A) harpe • direction Roland Hayrabedian
1. Callara II (2012) 21’22 A
pour 16 chanteurs, 2 pianos, 2 harpes, 2 percussions
isrc : FRV631600036
2 -3. Ikhtifa (2008) 6’31 B
pour 12 chanteurs en 2 tableaux
I. 4’20
isrc FRV631600037
II. 2’11
isrc : FRV631600038
4-11. Maadann (Métaux) (2011) 21’39 C
pour 8 chanteurs, piano à quatre mains, cymbalum, percussions
4.I. il ferro 4’05
isrc : FRV631600039
5. II. il Rame 1’53
isrc : FRV631600040
6. III. il Piombo 1’ 36
isrc :FRV631600041
7. IV. Il Stagno 2’14
isrc : FRV631600042
8. V. L’Argento 2’39
isrc : FRV631600043
9. VI. L’Oro 2’50
isrc : FRV631600044
10. VII.- il Mercurio 2’39
isrc : FRV631600045
11. VIII. Guai a voi 3’ 39
isrc : FRV631600046
12-15. Cadavre exquis (2007) 15’05 D
pour 12 chanteurs, dispositif électroacoustique et grosse caisse
12. I. 3’24
isrc : FRV631600047
13. II. 3’23
isrc : FRV631600048
14. III. 3’57
isrc : FRV631600049
15. IV. 4’19
isrc : FRV631600050
Callara II (2012) pour 16 chanteurs, 2 pianos, 2 harpes, 2 percussions
Création le 27 janvier 2013, Festival Présences – GTP Aix-en-Provence par l’ensemble Musicatreize. Commande de Radio France. Onoma éditions musicales. Le texte Cantata para América Mâgica [Poemas de Mercedes de Toro basados en antiguos textos pre-Colombinos] chanté en espagnol.
Le titre signifie en espagnol il/elle se taira. Cette pièce fait partie du cycle des Callara qui interroge le mutisme à travers des textes prophétiques mayas anciens, précédemment utilisés par le compositeur argentin Alberto Ginastera dans sa Cantata para América Mágica.
C’est la fin du monde qui est annoncée et elle se fait dans l’ensevelissement. Cette prophétie résonne étrangement à nos oreilles : pour nous aussi viendront des frères d’un (autre) orient…
Ici les voix sont rendues muettes sous le fracas et le tumulte extérieurs. Quand le poème dit
« Quand viendront les jours sans nom, / Quand apparaîtra le signe de Kauil / (…) Quand viendront les frères de l’orient / (…) A l’aube la terre brûlera ; / Les éventails du ciel tomberont / (…) sous la pluie verte de Yaxalchac / (…) L’arrivée du Katum transformera toute chose / Les hommes chanteurs seront accablés (…) Alors le sistre se taira, se taira le tambour ! / Tout se taira… ! », les voix seront littéralement recouvertes et plongent dans l’inaudible.
Le riche appareil instrumental permettant au compositeur de relier le monde chtonien aux cieux déchaînés, les hommes « chanteurs », dans l’entre-deux, disparaissent dans le chaos sonore. Pour une nouvelle genèse ?
Ikhtifa (2008) pour ensemble vocal en 2 tableaux
Création le 13 juin 2008 à Marseille par l’ensemble Musicatreize, direction Roland Hayrabedian. Commande de Musicatreize; Onoma éditions musicales. Texte du poète et philosophe arabe Abul-ala al-Maari (973-1057) extrait de son recueil, Luzum ma lam yalzam (« la nécessité inutile »), chanté en arabe.
Deux tableaux. Deux mouvements. L’un dense. L’autre clairsemé à l’extrême. Le compositeur s’est laissé guider par ces œuvres pour les faire ricocher sur ses propres obsessions : densité, fragmentation, travail sur la langue arabe… Une fois encore on retrouve un de ses thèmes de prédilection comme le passage du collectif à l’individuel, la désintégration du groupe…
Ikhtifa est un mot arabe qui signifie l’effacement, la disparition.
Conçue comme un diptyque, Ikhtifa part de la texture épaisse, plutôt sombre et dense du tableau d’Ubac. Deux forces qui s’attirent, se retrouvent dans une ligne étendue au milieu du tableau. Stries sur la toile qui s’intensifient. Le compositeur, à la recherche d’une forme d’énergie proche de la matière du tableau, suit les inflexions, les accents, la rythmique des vers d’ al-Maari, jusqu’à ce que les mots se mettent à danser. Le premier mouvement est très linéaire, plutôt monodique, hétérophonique et donne cette sensation de profondeur et de vibration horizontale. Le second mouvement assiste à la disparition progressive de la matière sonore. Les mots sont fractionnés, réduits à l’état de phonèmes, éparpillés. Des sons subsistent comme des points ou des traits, envahis de silence.
I.
Les gens s’en vont en vagues et nous derrière eux
Et ils étaient, et nous étions heureux dans l’erreur
Ô toi mon oreille, n’y a t-il dans ce que tu entends que mensonges et allégations ?
Laisse le temps et les siens, laisse-les à leurs affaires
Vis ton propre temps et tes jours, pleins de doutes et de peurs
La jeunesse a passé, nous n’en avons eu vent,
Ni même aperçu son ombre incertaine
Ligne d’équilibre qui apparaît comme un point mystérieux
Et anéantit toutes les autres lignes, toutes les lettres et tous les écrivains.
II.
Si la mort s’approche de moi, je ne hais pas sa proximité
Chacun a peur de sa mort et aucun n’évite de la boire.
Maadann (Métaux) (2011)
Pour 8 chanteurs, piano à quatre mains, cymbalum, percussions en 8 mouvements
Création au Festival d’Aix-en-Provence le 22 juillet 2011 à l’hôtel Manyer d’Oppède par les chanteurs et musiciens de l’Académie vocale contemporaine, direction Roland Hayrabedian. Commande de l’Académie européenne de musique du Festival d’Aix-en-Provence. Onoma éditions musicales. Texte établi d’après Speculum alchimiae (Le Miroir d’alchimie) attribué à Roger Bacon (1214-1294), chanté en italien.
Maadann est une sorte de liturgie du métal qui met en scène huit voix — chaque chanteur incarnant une personnalité minérale —, et des instruments, lieux de transformation. Une procession chemine du fer au mercure. De degré en degré, la transmutation se produit dans le mystère musical.
L’italien chanté sonne comme une autre langue. On songe à l’arabe, au berceau de l’imaginaire alchimique. La façon d’étirer la voix, de jouer de l’élasticité même du chant, de sa densité, fait disparaître la prosodie et dépayse la langue.
Chaque métal possède sa matière sonore, son temps, son énergie et son mouvement propre.
1. Le fer, métal dur, est solitaire.
2. Le cuivre représente la beauté et la douceur.
3. Le plomb est la source de toute spiritualité, lieu du devenir.
4. L’étain, le symbole de la justice et de la hiérarchie.
5. L’argent est l’image de la lune, vive et scintillante. Il incarne le féminin, la transparence, l’âme et ses mondes intérieurs.
6. L’or est la perfection, la lumière, le principe masculin qui pourtant, par un retour vers soi et un pèlerinage dans la solitude, rejoint le fer, son exact contraire dans un intime lamento.
7. Le mercure est ici duo, métal double et fuyant. Associé au soufre, il engendre tous les métaux…
8. Dans le dernier mouvement, en tutti, tous les corps retrouvent une forme de communion originelle, redeviennent une seule substance, première et saturée.
Ici le traitement musical rejoint l’idée maîtresse de Roger Bacon, l’unité essentielle de la matière.
Zad Moultaka aborde et expérimente à sa manière la matière sensible, une des trois espèces distinguées par le philosophe pour qui la raison ne peut se passer de la confirmation expérimentale.
Contemporain d’Albert le Grand, Roger Bacon est supposé avoir inventé les lentilles, les lunettes, des petites machines volantes, un chariot autopropulsé par ressorts, de nombreux automates, dont un pigeon pouvant voler, une tête d’acier capable de prononcer des sons articulés et de répondre aux questions. Accusé de magie, celui qui cherchait inlassablement à fonder la vérité rationnelle, fut l’objet de la censure puis emprisonné pour « nouveautés suspecte ».
Mais son apport est réellement essentiel dans la réorganisation du savoir au XIIIe siècle, l’élaboration de la méthode scientifique moderne et la philosophie du langage.
Le compositeur emprunte la description des métaux au chapitre II du Miroir d’Alchimie, Des principes naturels et de la génération des métaux : « Notez d’abord que les principes des métaux sont le mercure et le soufre. Ces deux principes ont donné naissance à tous les métaux et à tous les minéraux, dont il existe pourtant un grand nombre d’espèces différentes. Je dis de plus que la nature a toujours eu pour but et s’efforce sans cesse d’arriver à la perfection, à l’or. Mais par suite de divers accidents qui entravent sa marche, naissent les variétés métalliques, ainsi qu’il est clairement exposé chez plusieurs philosophes.»
Mystique expérimentale, l’alchimie recherche l’absolu et propose à l’homme de triompher du temps ; Maadann explore précisément cette dimension et interroge le rapport démiurgique de l’homme à la nature, renvoyant au danger de jouer avec ses lois. Roger Bacon nous avait prévenus : « Malheur à vous qui voulez surpasser la nature…»
Cadavre exquis (2007) pour ensemble vocal, dispositif électroacoustique et grosse caisse.
Création le 9 juin 2007 à Marseille, Eglise saint Charles par Musicatreize, direction Roland Hayrabedian. Commande de Musicatreize. Onoma éditions musicales. Texte établi à partir d’ateliers d’écriture, chanté en français.
Règle d’un jeu établi par l’ensemble vocal, les textes sont des fragments de poèmes composés en ateliers d’écriture élaborés par le public. Au compositeur de choisir ce qu’il en retiendra pour animer son œuvre.
La relation d’un compositeur au texte est toujours une affaire très complexe, relevant la plupart du temps du sentiment d’une nécessité intérieure. Pour un bilingue de naissance, la distanciation par rapport à la langue est crue, immédiate, passionnelle.
Toute la culture que la langue charrie avec elle se cristallise dans chaque phrase, dans sa prosodie « naturelle », ses intonations, ses accentuations, ses phonèmes ou au contraire l’absence de certains phonèmes, jusqu’à son histoire inscrite dans le répertoire musical (en particulier dans la grande tradition des « mélodies françaises»). Zad Moultaka avait déjà écrit de la musique sur des poèmes francophones (de Georges Schehadé, Nadia Tuéni) mais ces productions étaient rares dans son catalogue par rapport à l’usage de multiples autres langues (latin, russe, italien, grec, arabe…).
Dans Cadavre exquis, le compositeur a déconstruit presque systématiquement la structure des mots, leur morphologie, leur rythmique, privilégiant la dynamique de la parole par rapport au sens. Les syllabes compactées, énoncées simultanément, rendent souvent le texte inintelligible. Certains mots et quelquefois des bribes de phrase émergent, apparaissant dans une grande clarté comme des mots à la dérive, à la manière d’une île. Car Cadavre exquis est un océan…
Cette œuvre est d’une conception très particulière, construite sur la superposition sonore de chaque partie au fil du temps du concert. Le premier mouvement, a cappella, est chanté puis sert de « couche sonore » au second. Les deux premiers servent à leur tour de « couche sonore » au troisième, le quatrième mouvement pousse encore plus loin le même processus. Cette « mise en abîme » est vertigineuse et crée une texture harmonique étrange. Certaines notes tenues (se rapprochant des lignes visibles qui permettent de continuer le dessin du cadavre exquis) deviennent charnières, opérant le passage d’un espace musical à un autre. Où l’on retrouve des notions chères au compositeur : mémoire, reflet, ombres, échos… La sensation à l’audition est étonnante, le rappel incessant du passé hante l’écoute, créant un saisissant effet de labyrinthe intérieur. On s’identifie au chœur vivant, assailli par son ombre, on essaie de chasser cet « autre » qui surgit et nous empêche d’entendre clairement notre propre voix. Mais cet autre est nous-même.
Zad Moultaka (1967)
ensemble Musicatreize direction Roland Hayrabedian
1 CD – ED13246 – 3341348159447
parution 25 novembre 2016
Livret 28 pages français & anglais
direction artistique Zad Moultaka
Son : Etienne Collard
Salle Colonne, 6-8 février 2016
assistant prise de son Baptiste Chouquet
mastering Pierre Luzy, Music Unit
notes : Lauren Sadey, Catherine Peillon,
Roland Hayrabedian
traductions : John Tyler Tuttle
photographies, ligne éditoriale & création graphique :
Catherine Peillon
l’empreinte digitale 2016 dist. Socadisc
Publié avec le soutien de de MFA et du FCM
3 novembre 2016 « König Hamed und seine erste Frau » Opéra de Mainz (Mayence) Allemagne
8 novembre 2016 « UM » par les ensembles Ars Nova & Neue VocalSolisten de Stuttgart, direction Philippe Nahon et la réalisation informatique musicale de Gilbert Nouno à l’Ircam, La Comédie de Clermont
10 novembre 2016 « UM » par les ensembles Ars Nova & Neue VocalSolisten de Stuttgart, direction Philippe Nahon et la réalisation informatique musicale de Gilbert Nouno à l’Ircam, La Filature de Mulhouse
du 16 au 19 novembre 2016 exposition à Abu Dhabi Art Fair, Abu Dhabi, Emirats Arabes Unis présentée par la Galerie Janine Rubeiz
22 novembre 2016 « Regarde ici-bas » création par le chœur Spirito, direction Nicole Corti, MC2, Grenoble
22 novembre 2016 « UM » par les ensembles Ars Nova & Neue VocalSolisten de Stuttgart, direction Philippe Nahon et la réalisation informatique musicale de Gilbert Nouno à l’Ircam, TAP, Poitiers
22 -, 23, 24 novembre 2016 « König Hamed und seine erste Frau » « Happy New Ears »-Festival, Nationaltheater Mannheim Allemagne
26 novembre 2016 « Hummus », bref opéra par les Neue VocalSolisten de Stuttgart, 19th Festival, projektgruppe neue musik bremen, Brême, Allemagne
29 novembre 2016 « Il regno dell’acqua » par l’ensemble Stravinsky, direction Jean-Pierre Pinet, Arsenal de Metz
29 novembre 2016 conférence Arsenal de Metz, 18h30 Compositeur en résidence
1er décembre 2016 « Regarde ici-bas » par le chœur Spirito, direction Nicole Corti, La Comédie de Clermont
11 décembre 2016 « Maadann », « Ikhtifa », par l’ensemble Musicatreize, direction Roland Hayrabedian, salle Colonne, Paris
21 janvier 2017, « La Passion d’Adonis » avec la voix d’Adonis, Amel Brahim Djelloul, ensemble Mezwej, Institut du Monde Arabe, Paris
22 janvier 2017 « König Hamed und seine erste Frau » « Staatstheater Mainz
23 février 2017 « Calvario » par Pierre Bibault, Music and Arts Department, Indianapolis University, IN
24 janvier 2017 « Hanbleceya » par l’ensemble 2e2m, Pablo Márquez guitare, direction Pierre Roullier, CRR de Paris
25 février 2017 « Calvario » par Pierre Bibault, Festival de guitare de Miami, USA
28 février 2017 « Exercices de lumière » (programme Lamentazione) création par Concerto Soave, Mezwej & María Cristina Kiehr, soprano, Arsenal de Metz
3 mars 2017 « Exercices de lumière » (programme Lamentazione) par Concerto Soave, Mezwej & María Cristina Kiehr, soprano, Festival Mars en Baroque, Marseille
13 mars 2017 Atelier contemporain du CRR de Paris, avec Suzanne Giraud, atelier destiné aux élèves en classes de composition (électroacoustique et instrumentale), ouvert au public
14 mars 2017 « Anath » par l’ensemble 2e2m, direction Pierre Roullier, CRR de Paris
18 mars 2017 « La Passion d’Adonis » avec la voix d’Adonis, Amel Brahim Djelloul, ensemble Mezwej, La Comédie de Clermont
24 mars 2017 « La Passion d’Adonis » avec la voix d’Adonis, Amel Brahim Djelloul, ensemble Mezwej, La Spezia, Italie
du 15 au 18 mars 2017 exposition, Art Dubai, Dubai, Emirats Arabes Unis, présentée par la Galerie Janine Rubeiz
7 avril 2017 « Noujoum » Orchestre National de Lorraine, direction Julien Leroy, Arsenal de Metz
7 avril 2017 « Astres fruitiers » exposition, Chapelle des templiers, Arsenal de Metz
25 avril « Antar » création par l’ensemble 2e2m, direction Pierre Roullier, CRR de Paris
10 mai 2017 « Sonia W » création avec Sonia Wieder Atherton, Arsenal de Metz
10 mai 2017 « UM » par les ensembles Ars Nova & Neue VocalSolisten de Stuttgart, direction Philippe Nahon
et la réalisation informatique musicale de Gilbert Nouno à l’Ircam, Festival Passage, Arsenal, Metz
13 mai 2017 « Sacrum, sacre du Liban à Venise » Installation sonore et plastique, Pavillon libanais, Biennale de Venise, Italie
18 mai 2017 nouvelle pièce trio pour cor, voix & cornemuse création par Erwan Keravec et l’ensemble Sillage, Le Quartz, Brest
20 mai 2017 « Antar » par l’ensemble 2e2m, direction Pierre Roullier, Gennevilliers salle des fêtes
2 novembre 2016 Marseille, salle Musicatreize
5-9 novembre 2016 Tournée aux USA
5 et 6 novembre 2016 New York, Saint Ignacius of Antioch (divers)
9 novembre 2016 New York, Roger Smith Hotel (Zad Moultaka et divers)
12 novembre 2016 Boston, Brandeis Universit(F. Paris, A. Markeas)
17 novembre 2016 présentation du disque Rituels (Zad Moultaka)
20 novembre 2016 Nice, Festival Manca (F. Paris, A. Markeas)
7 décembre 2016 Marseille, salle Musicatreize (M. Petrossian)
11 décembre 2016 Paris, salle Colonne (Zad Moultaka)
13 janvier 2017 Zurich, Samkt Peter Kirche, Suisse (divers)
21 janvier 2017 Aix-en-Provence, Grand Théâtre de Provence (F. Schubert, P. Hersant)
25 février-4 mars 2017 Paris, Théâtre de l’Athénée (S. Gaxie avec 2e2m)
11 et 12 mars 2017 Bogota, Théâtre Colon, Colombie (J. P. Carreño)
21 mars 2017 Vitry sur Seine (S. Gaxie avec 2e2m)
12 et 13 mai 2017 Marseille, Théâtre de la Criée (A. Markéas)
13 juin 2017 Marseille, salle Musicatreize (A. Posadas)
17 juin 2017 Paris, Festival Manifeste (A. Posadas)
25 juillet 2017 Festival Messiaen au pays de la Meije (A. Posadas)
ZAD MOULTAKA Zad Moultaka, né au Liban en 1967, poursuit depuis plusieurs années une recherche personnelle sur le langage plastique et musical. Dans son travail de compositeur, il intègre les données fondamentales de l’écriture contemporaine occidentale – structures, tendances, familles et signes – aux caractères spécifiques de la musique arabe – monodie, hétérophonie, modalité, rythmes, vocalité… LIRE LA SUITE
MUSICATREIZE Roland Hayrabedian crée l’Ensemble Musicatreize à Marseille en 1987 pour répondre aux nécessités instrumentales et vocales les plus diverses. Depuis, cet outil singulier dans le paysage musical français chemine à travers les siècles et les esthétiques, relie le passé et le présent le plus immédiat, entrecroise des œuvres devenues classiques et des compositions résolument contemporaines. Musicatreize s’adapte aux besoins de la partition, circule dans le chant soliste ou le grand chœur, a cappella ou accompagné de formations instrumentales, et passe ainsi de la scène de concert à la scène d’opéra, de la musique de chambre au théâtre musical. LIRE LA SUITE
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