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Collection

Luc Ferrari (1929-2005)

ars nova ensemble instrumental

Collection de petites pièces ou 36 enfilades pour piano et magnétophone (1985)

Michel Maurer, piano
Françoise Rivalland percussion

27 février 2004 – ED13171

Distinctions : Grand Prix de l’Académie Charles Cros (juin 2004) – 4 étoiles du Monde de la Musique (juin 2004) – 9 de Répertoire (mai 2004)

1 disque – 40 pistes – Durée totale : 00:53:21

COLLECTION

 

C’est pour moi comme un très long voyage que je n’aurais pas fait et dont j’effectuerais le parcours en avion ou derrière la vitre d’un train.
Un moment hors du temps où on va plus vite que l’instant à en perdre la notion du temps, qui laisse la place à de longues minutes de rêveries où on peut laisser ses pensées errer. Et puis, l’imagination galope par instant ; on aperçoit quelque chose, pas même toujours clairement identifié et, par association d’idées, des souvenirs « réels» se greffent et, de spectateur, on redevient acteur de façon très fugitive en dehors de tout souci de logique ou de réalité.

Françoise Rivalland

ARTISTES & PROGRAMME
PRESENTATION
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BIOGRAPHIES & AGENDA
ARTISTES & PROGRAMME

artistes

ars nova ensemble instrumental

Michel Maurer, piano
Françoise Rivalland percussion

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PRESENTATION
Collection de petites pièces ou 36 enfilades pour piano et magnétophone
(1984-1985)

À l’origine, c’est-à-dire en 1984, Collection était conçue comme une sorte de théâtre musical.
Le protagoniste solo était un pianiste qui s’interrogeait sur la musique. Ainsi le pianiste parlait. Il parlait de cette Collection de petites pièces, et il jouait aussi du magnétophone. Depuis les choses ont changé, je n’étais plus intéressé de la même manière au théâtre musical et les magnétophones ont quasiment disparu. Mais j’ai tout de même gardé le titre Collection ou 36 enfilades pour piano et magnétophone.Et j’ai gardé ce titre de la manière la plus effrontée, d’autant que la version théâtrale a emporté avec elle la pièce n° 30 ce qui fait 36 – 1 = 35.
Mais je tenais au titre original avec son numéro 36.
En ce qui concerne la version théâtrale et pour montrer que j’ai bien eu rai- son de la supprimer, je vais en donner ici quelques extraits.
“…D’ailleurs les archives dans lesquelles j’ai trouvé ces notes parlent des nouveaux pianistes.
Voilà l’histoire :
J’ai découvert dans la bibliothèque municipale d’un petit village de Lozère, un manuscrit constitué de pages musicales, de notes et d’explications, de brouillons aussi, dont l’ensemble constitue semble-t-il un tout, avec un par- cours assez logique.
Cette « partition » est faite de pièces souvent accompagnées de textes destinés à être lus pendant l’exécution. Bien que ni datées, ni signées, les pièces sont numérotées et l’ensemble porte le titre suivant : Collection de petites pièces, ou 36 enfilades pour piano et magnétophone.
Des spécialistes m’ont aidé dans mon travail de recherche et aussi de réécriture. Enfin nous avons décidé de signer l’œuvre, afin de la sortir de son anonymat ; et nous avons inventé le nom de Luc Ferrari.”
C’est ainsi, peut-être un peu naïvement, que j’écrivais à l’époque. En ce temps- là j’ai écrit aussi des textes moins naïfs que j’ai gardés.”
Plus loin on trouve :
“C’est donc une collection de petites pièces très courtes. Elles sont composées à partir de 6 thèmes (…) Il y a aussi des citations, des hommages et des idées qui n’ont rien à voir et qui semblent pourtant appartenir à la même suite…”
Luc Ferrari

Jeu du hasard et de la détermination (1998 – 1999) pour percussion, piano, électronique et bande

« Dans ce nouveau projet, mon idée était de dire : j’ai une durée et j’ai des sons et je voudrais un instrument qui ne soit pas moi, qui les place avec ma détermination d’enfer, mais quelqu’un de neutre, comme un logiciel… j’ai donc demandé au GRM de me fabriquer un programme qui me ferait cela sans douleur» Luc Ferrari.
295 sons mémorisés et 76 sons instrumentaux évoluent à travers une forme cohérente – voire conventionnelle – vers une sorte de grand crescendo dans le troisième quart de la pièce avant de se terminer sur le son le plus conclusif.
Le hasard fascine Luc Ferrari : hasard des rencontres, de l’individuel au collectif.
« La détermination » : le grand hall de la gare de Los Angeles, de style mexicain, au son doux et légèrement réverbéré.
Le « hasard » : hall où se croisent des êtres (son, éléments, créatures). Fusion, opposition, contradiction, des sons mémorisés.

 

Luc Ferrari

MEDIAS presse radio vidéo
IMAGES
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CREDITS & DOCUMENTS

crédits

Remerciements/ Special thanks

Brunhild Meyer-Ferrari
l’équipe de la Muse en Circuit
et David Jisse son directeur, l’équipe d’Ars Nova, Philippe Nahon et Benoist
Baillergeau, son directeur

Ars Nova ensemble instrumental
 est en résidence
dans la Région Poitou-Charentes
et associé au Théâtre-Scène Nationale de Poitiers et en mission dans la région Nord – Pas de Calais Ses activités sont subventionnées par
Le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC de Poitiers et de Lille)
La Région Poitou-Charentes
La Région Nord-Pas de Calais
La Ville de Poitiers
La Ville de Lille
et reçoivent le soutien de la SACEM

Enregistrement / recording Juin / June 2003 par / by Christophe Hauser assisté de Julien Guinard
Mix 20 & 24 Juin 2003 par / by Christophe Hauser & Luc Ferrari Studio John Cage de la Muse en Circuit
Direction artistique / artistic supervisor : Philippe Nahon
Piano Steinway & Sons D-274 n° 563808 de Pierre Malbos
Accord / tuning : Pierre Malbos

Photo de couverture / front cover photo & artwork © Catherine Peillon
Autres photographies / other photos : Arthur Péquin, Tinta Schmidt von Altenstadt
Notice / liner notes : Luc Ferrari English translation by John Tyler Tuttle
Production Ars Nova ensemble instrumental
Coproduction : La Muse en Circuit

Ligne éditoriale, production et création graphique
Editorial line, production & artwork : Catherine Peillon

BIOGRAPHIES & AGENDA

Biographies

Né à Thionville, Michel Maurer fait ses études musicales aux CNR de Metz, d’Avignon puis au CNSM de Paris dans la classe d’Aldo Ciccolini ; il y obtient un premier prix de piano ainsi qu’un premier prix de musique de chambre dans la classe de Jean Mouillère. Il se perfectionne ensuite avec le pianiste et compositeur Carlos Roque-Alsina, reçoit également les conseils de Vlado Perlemuter, Claude Helffer, étudie l’écriture musicale avec Alicia Alsina. Il est lauréat du concours A. Cortot (Milan) en 1977 et du Concours International « Acanthes » à Paris en 1984.
Michel Maurer s’est très tôt intéressé à la création contemporaine, il est de- puis 1990, pianiste au sein de l’ensemble instrumental Ars Nova et a joué aussi avec les ensembles 2E2M, Le Banquet… De ces rencontres avec de nombreux compositeurs (Aperghis, Essyad, Monnet, Nunès…), il faut noter sa collaboration avec Luc Ferrari, dont il est devenu l’un des interprètes privilégiés, et le compositeur américain Conlon Nancarrow, qui a déclaré avoir trouvé en lui un interprète idéal pour sa musique.
Lors de ses récitals en France et à l’étranger, il aime situer le répertoire classique (Brahms, Bartok, Chopin, Debussy, Schubert…) au côté d’œuvres plus contemporaines (Ohana, Schönberg…).
En mars 2003, il est invité par le CNSM de Lyon avec l’historien de l’art Gérard Sutton pour un séminaire sur l’intégrale de l’œuvre pour piano de Schönberg qu’il programme avec des pièces de Brahms et de Debussy.
Attiré par diverses formes de représentations, il participe à plusieurs expériences de théâtre musical. En 1996, au festival de Passau, il a créé avec la danseuse Andréa Sitter «Un hiver à Majorque», spectacle autour des 24 préludes de Chopin.
Passionné par la musique improvisée, il joue au sein de l’ensemble « Transes européennes » de Pablo Cueco, en duo avec le clarinettiste Denis Colin, la contrebassiste Rozemarie Heggen, la percussionniste Françoise Rivalland …. .
Ces dernières années, Michel Maurer s’est produit en Allemagne (Biennale de Berlin, festival de Köln…), Autriche (Musique Aspekt de Salzbourg), en France (Festival Présences de Radio France, à l’IRCAM, au festival Sons d’hi- ver, Banlieues bleues…), au Japon, en Suisse (Festival Archipel de Genève, au NEC de la Chaux-de-Fonds…), au Pays-Bas (à Groningen, au Ljsbrekker d’Amsterdam…).

Françoise Rivalland, percussion, cymbalum
Elève de Gérard Hiéronimus, elle a également étudié avec Francis Branna, Gaston Sylvestre et Jean-Pierre Drouet.
Interprète essentiellement de musique contemporaine, parfois en petites for- mations orchestrales mais surtout en musique de chambre et en soliste. A partir de 1987, elle joue régulièrement dans le cadre d’ensembles tels que « Contrechamps », « Musik Fabrik », « Recherche » et d’organismes tels que l’IR- CAM, l’Expérimental Studio de Freiburg, Radio Bremen… .Elle travaille ainsi avec de nombreux compositeurs pour la création et l’interprétation de leurs œuvres. Elle joue Carlos Roque Alsina, Georges Aperghis, Luciano Berio, John Cage, Francis Courtot, Morton Feldman, Brian Ferneyhough, Luc Ferrari, Bruno Giner, Vinko Globokar, Klaus Huber, György Kurtág, Helmut Lachenmann, Yoshihisa Taïra, Iannis Xenakis, Susumu Yoshida.
Elle joue du cymbalum, du zarb et de plusieurs autres percussions digitales, pratique l’improvisation avec le pianiste Michel Maurer et la contrebassiste Rozemarie Heggen ou encore avec Hans Tutschku au traitement live électro- nique.
Son intérêt pour la dramaturgie, le rapport texte/musique/geste et la représentation théâtrale, l’a amené à travailler régulièrement pour le théâtre et la danse en tant que metteur en scène ou interprète.
Depuis 1987, elle participe à de nombreux spectacles de Georges Aperghis, en tant qu’assistante musicale, assistante à la mise en scène ou en tant qu’interprète :
Enumérations (1988), Jojo (1990), La baraque foraine (1990), La fable des continents (1991), film de Hugo Santiago, H (1992), Commentaires (1996), Entre chien et loup (2002).
En 1993, elle met en scène le roman de René Daumal : La grande beuverie. Elle crée la musique de plusieurs spectacles du chorégraphe Sylvain Prunenec : Zarb (2000), La finale (2002) avec Hans Tutschku, et Fronde Ethiopia (2002) avec Rozemarie Heggen et Tewolde Berhan.
Elle joue en duo avec le percussionniste Christian Dierstein, le pianiste Michel Maurer et la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton.
En 1986, elle est co-fondatrice de S:i.c. ( Situation : interprètes et compositeurs ) pour privilégier le travail de l’interprétation et de la création en musique de chambre. Elle en est depuis la directrice artistique.

Luc Ferrari , né le 5 février 1929 à Paris et mort le 22 août 2005 à Arezzo en Italie, est un compositeur français. Apprenti de la musique dès son plus jeune âge, Luc Ferrari poursuit ses études de composition et de piano jusqu’à ce qu’une tuberculose dans sa jeunesse interrompant sa carrière pianistique ; il se concentre désormais sur la composition. Pendant cette maladie il a l’occasion d’apprendre par voie de radio, à connaître les novateurs comme Schönberg, Berg, Webern et autres qui le confortent dans sa soif de prendre des distances vis-à-vis des enseignements de ses premiers conservatoires. Participant de 1954 à 1958 aux cours d’été de Darmstadt, il noue des ren- contres amicales avec Karlheinz Stockhausen, Luigi Nono, Luciano Berio, Henri Pousseur, John Cage. Ce dernier, avec Edgard Varèse, et ensuite Pierre Schaeffer, le fortifient encore davantage dans son besoin de briser les bar- rages qu’imposent les traditions musicales jusqu’alors. Des dogmes, il ne peut qu’en sortir. Bouleversé par « Déserts » d’Edgard Varèse qu’il écoute également à la radio, il décide immédiatement en 1954 de lui rendre visite à New York. Il profite de ce voyage de plusieurs semaines sur un cargo pour poursuivre ses compositions pour piano.
Son attirance pour la musique concrète et sa collaboration avec Pierre Schaeffer de 1957 à 1966 le conduisent à vouloir élargir la notion même de la musique abstraite, à vouloir déchirer les membranes entre les genres. Il fête l’arrivée des premiers magnétophones portables grâce auxquels il sort des studios pour recueillir les matières pour sa pièce Hétérozygote – sa première composition qu’il appelle – avec un sourire – « musique anecdotique » – : «Je veux absolument que le geste d’aller enregistrer soit l’entrée dans le social. »
Assurément, cette composition de 1963-64, révèle bien son esprit de liberté. Aussi toute son œuvre désormais démontre son attention profonde pour la société, son caractère d’ouverture tous azimut, d’où ses créations dans les domaines les plus divers comme les films ; les écrits, installations ; œuvres symphoniques ou pour ensemble ; œuvres dans lesquelles il associe instru- ments et son fixé qu’il appelle SM = Son Mémorisé ; concerts-spectacle ; œuvres multimédia ; œuvres électroacoustiques ; Hörspiele (compositions radiophoniques) et aussi, à partir de 1999, travail avec des DJ expérimentaux et improvisation, Dj Olive & Erikm. En dehors de ses dispositions pour le mélange des genres, la sensualité, l’humour, la narration, la perversion, l’anecdotique dont ses œuvres sont parcourues, s’y traduisent de façon quasi constante aussi sa révolte, son désir et son amour de la vie.
Avec les films de 1965-66 pour le Service de la Recherche de l’O.R.T.F, Les grandes répétitions (INA) réalisés avec Gérard Patris, qui cernent l’esprit des compositeurs et innovateurs comme Messiaen, Stockhausen, Varèse, Hermann Scherchen, Cecil Taylor, ce fut la première fois que la télévision française montre l’élaboration d’œuvres contemporaines. Ce sont des documents uniques et convoités dans le monde entier de la musique.

affinités

ESPIEGLE

ESPIEGLE

TROIS AMOURS

TROIS AMOURS

CONCERTOS & BAGATELLES

CONCERTOS & BAGATELLES

CORPS

CORPS

J’OUÏS

J’OUÏS

PEEPHOLE

PEEPHOLE

PLUIE D’OR

PLUIE D’OR

LEANDRE DOUBLE BASS

LEANDRE DOUBLE BASS

A l’Agité du bocal / Le caillou dans la chaussure

A l’Agité du bocal / Le caillou dans la chaussure

SEE THE SOUND

SEE THE SOUND

ARBRE NUAGE

ARBRE NUAGE

MELANGES – GUILLERMO ANZORENA, baritone SILVIA DABUL piano

MELANGES – GUILLERMO ANZORENA, baritone SILVIA DABUL piano

FORSE – Francesco Filidei (1973)

FORSE – Francesco Filidei (1973)

RITUELS / ZAD MOULTAKA / MUSICATREIZE

RITUELS / ZAD MOULTAKA / MUSICATREIZE

HELICES – Ricardo Nillni (1960) – Alexis Descharmes, cello

HELICES – Ricardo Nillni (1960) – Alexis Descharmes, cello

GEMME – Hildegard von Bingen (1098-1179) – Zad Moultaka (1967)

GEMME – Hildegard von Bingen (1098-1179) – Zad Moultaka (1967)

Où en est la nuit / Zad Moultaka (1967)

Où en est la nuit / Zad Moultaka (1967)

Calvario – Zad Moultaka

Calvario – Zad Moultaka

Zajal (Version audio) Zad Moultaka

Zajal (Version audio) Zad Moultaka

Visions – Zad Moultaka

Visions – Zad Moultaka

Princesses / Luis Naon ensemble Ars Nova

Princesses / Luis Naon ensemble Ars Nova

Collection Luc Ferrari

Collection Luc Ferrari

Tempio di Fumo

Tempio di Fumo

Œuvres pour piano – Intégrale, volume 1 George Crumb

Œuvres pour piano – Intégrale, volume 1 George Crumb

Etudes pour piano Ligeti Toros Can

Etudes pour piano Ligeti Toros Can

THREE VOICES MORTON FELDMAN

THREE VOICES MORTON FELDMAN

Œuvres pour piano Morton Feldman

Œuvres pour piano Morton Feldman

Symphonie déchirée / Luc Ferrari (1929 – 2005)

Symphonie déchirée / Luc Ferrari (1929 – 2005)

Célébration de la caresse Henry Fourès

Célébration de la caresse Henry Fourès

Œuvres pour piano Arnold SCHÖNBERG

Œuvres pour piano Arnold SCHÖNBERG

Dimotika Alexandros Markeas

Dimotika Alexandros Markeas

Maja Ivan Fedele

Maja Ivan Fedele

Ahmed Essyad / Voix interdites / accroche note

Ahmed Essyad / Voix interdites / accroche note

L’Oeuvre pour piano Elliott Carter

L’Oeuvre pour piano Elliott Carter

Prophetic Attitude Le Concert Impromptu

Prophetic Attitude Le Concert Impromptu

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Princesses / Luis Naon ensemble Ars Nova
Princesses / Luis Naon ensemble Ars Nova
Tempio di Fumo
Tempio di Fumo
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